20 août 2010
Chroniques terriennes de l'E-henne
Tiens, me revoilà! Et presque entière, en plus. Il faut dire que ça laisse des traces, le passage dans le vortex spatio-temporel situé entre l'oisiveté la plus confortable et la vaste prairie où paît le Mammouth. Eh oui, j'ai repris la lente migration...